
Animus Anima
jazz psychédélique

Le chaînon manquant entre Pink Floyd et Archie Shepp!
Cette formation rejoint le Collectif du Lion en 2007. Par son orchestration et ses modes d’improvisation elle s’inscrit dans l’esthétique du collectif. La présence d’Etienne Plumer, Benoist Eil et aujourd’hui Stephan Pougin ainsi que l’association tuba/batterie/percussions ne pourront que confirmer ce sentiment.
Le groupe a publié à ce jour trois Cds: Le bénéfice du doute et Qu’est-ce que tu crois?- Yiyu Production- et Résidence sur la terre chez IGLOO
Cette rencontre particulière de musiciens provenant d’horizons très différents donne un cocktail contrasté: incandescence visionnaire/auto-dérision ironique, jazz-rock furieux/ballades lyriques et charnelles, compositions rôdées/improvisations totales. Un concert d’énergies engagées, lyriques et très variées (le sens du voyage). L’ensemble donne une orchestration rare, une texture sonore inédite.
«Animus anima, ce n’est pas plus du jazz que le bebop n’en était quand il est apparu. (…)Une recherche faite par des savants pas si fous que ça, par des artistes qui savent jouer, par (et pour) des gens à l’instinct ancré dans leurs curieux quotidiens.» Philippe Dethy
Aujourd’hui Animas Anima propose deux formules:
• L’équipe de base en quartet
• L’équipe du nouvel album ‘Résidence sur la Terre’
Line up ‘équipe de base’
NICOLAS ANKOUDINOFF saxophones, composition
BENOIST EIL guitare
ETIENNE PLUMER batterie
PASCAL ROUSSEAU tuba
Line up ‘Résidence sur la Terre’
ÉQUIPE DE BASE +
BART MARIS trompette
STEPHAN POUGIN percussion
Quelques mots à ce propos : Résidence sur la terre se développe en sept tableaux et deux interludes. Le titre a été choisi pour renvoyer à des états émotionnels que nous inspire la nature.
En témoignent les titres des tableaux : 1.Atmosphère atmosphère, 2.Nomad’s land, 3.Marée Basse, 4.Baloo Stardust, 5.Argile de tes Mains, 6.Terre Eve, 7.Zaaien (donc nous sommes).
Quant à l’orchestration: tuba et/ou guitare électrique ténor ou baryton peuvent s’alterner dans le rôle de basse, batterie et percussion ouvrent le champ de la polyrythmie (le premier tableau est un groove qui mélange des rythmes en 4 et en 11); trompette et sax ténor sont tantôt solistes, tantôt ‘orgue’ avec l’appui du tuba, comme dans Marée Basse; toujours ces contrastes: lyrisme inspiré/grooves profonds, mélodies raffinées/ambiant noisy, légèreté ironique/candeur sincère.
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